Reportage - mercredi 3 août 2011
Cette fois, il s'agit d'atterrissage: être à Pékin le matin c'est à dire dans un univers à 8400 km d'ici et de se retrouver à Paris au soir, il faut gérer cela en douceur: ranger les porcelaines fines avant de sortir les beaux ustensiles français.
Hier matin nous avons quitté l'hôtel à 7h ( 1h du matin en France) en espérant trouver un taxi. Mais il y avait trois valises. Ce n'est que le troisième - attente de 5 mn, ce qui est satisfaisant - qui a accepté d'en mettre deux sur le siège droit avant et une dans son coffre. Les taxis sont moins grands qu'à Paris. Puis métro, puis train rapide vers l'aéroport, tout s'est passé comme une lettre à la poste. Dans l'Airbus, il y avait une rangée centrale de 4 sièges et deux rangées latérales de deux sièges. Pas de problème et à Helsinki, l'Airbus était plus petit: trois d'un côté et trois de l'autre. Le RER par rapport à Pékin était poussif car plutôt que de faire les points principaux gares et Aéroport Orly, il faisait omnibus: faut pas ruiner les taxis!
Les premiers contacts avec la rue parisienne sont dépaysants. Là bas le trottoir sert à se déplacer. Il y a parfois des bancs mais c'est minoritaire alors qu'ici, il y a toute une vie, les gens parlent, font du lèche vitrine, se restaurent ou boivent un coup. Là bas, c'est encore une culture paysanne: on bosse, on fait des choses utiles avec le bon côté souriant et paisible. Mais si on se promène bien à 20° c'est moins vrai à 35°. Et surtout il n'y a aucun périphérique ou autoroute qui découpent Paris en mille morceaux. Même la Défense parait un peu village à côté de cela.
Et puis aujourd'hui, il pleut ici. Dans l'hémisphère nord, les vents dominants étant donné la rotation de la Terre, soufflent d'Ouest en Est. Nous avons la mer à l'Ouest, et il pleut et Pékin comme New York ont la mer à l'est et alors c'est la canicule sans eau. Et l'hiver contraste, la mer adoucit le climat et à Pékin et New York il fait froid et il y a beaucoup de neige. On en sortira pas des lois de la nature
Hier matin nous avons quitté l'hôtel à 7h ( 1h du matin en France) en espérant trouver un taxi. Mais il y avait trois valises. Ce n'est que le troisième - attente de 5 mn, ce qui est satisfaisant - qui a accepté d'en mettre deux sur le siège droit avant et une dans son coffre. Les taxis sont moins grands qu'à Paris. Puis métro, puis train rapide vers l'aéroport, tout s'est passé comme une lettre à la poste. Dans l'Airbus, il y avait une rangée centrale de 4 sièges et deux rangées latérales de deux sièges. Pas de problème et à Helsinki, l'Airbus était plus petit: trois d'un côté et trois de l'autre. Le RER par rapport à Pékin était poussif car plutôt que de faire les points principaux gares et Aéroport Orly, il faisait omnibus: faut pas ruiner les taxis!
Les premiers contacts avec la rue parisienne sont dépaysants. Là bas le trottoir sert à se déplacer. Il y a parfois des bancs mais c'est minoritaire alors qu'ici, il y a toute une vie, les gens parlent, font du lèche vitrine, se restaurent ou boivent un coup. Là bas, c'est encore une culture paysanne: on bosse, on fait des choses utiles avec le bon côté souriant et paisible. Mais si on se promène bien à 20° c'est moins vrai à 35°. Et surtout il n'y a aucun périphérique ou autoroute qui découpent Paris en mille morceaux. Même la Défense parait un peu village à côté de cela.
Et puis aujourd'hui, il pleut ici. Dans l'hémisphère nord, les vents dominants étant donné la rotation de la Terre, soufflent d'Ouest en Est. Nous avons la mer à l'Ouest, et il pleut et Pékin comme New York ont la mer à l'est et alors c'est la canicule sans eau. Et l'hiver contraste, la mer adoucit le climat et à Pékin et New York il fait froid et il y a beaucoup de neige. On en sortira pas des lois de la nature
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